France Gall était une chanteuse française. En 1965, à l’âge de 17 ans, elle gagne l’Eurovision Song Contest du Luxembourg. De 1973 à 1992, elle travaille avec l’auteur-compositeur Michel Berger.
Wikipédia, biographie, origine de France Gall
Origine
France Gall est originaire de Paris, France. Son vrai nom est Isabelle Geneviève Marie Anne Gall.
Apparence physique, taille, âge
France Gall taille
Sa taille est de 1,66 mètre. Son poids s’élève à 57 kg.
France Gall âge
France Gall voit le jour le 9 octobre 1947. Elle est décédée le 7 janvier 2018 alors qu’elle avait 70 ans. Son signe astrologique est la Balance.
France Gall apparence physique
Ses yeux sont châtains. La couleur des cheveux est blonde.
Famille, Ethnicité et Relations
Famille – Parents, frères et sœurs
Gall a grandi dans une famille très musicale. Son père, le parolier Robert Gall, a composé les chansons d’Édith Piaf et de Charles Aznavour. De plus, sa mère, Cécile Berthier, était chanteuse. Elle est en outre la fille de Paul Berthier, co-fondateur des Petits Chanteurs à la Croix de Bois. Fille unique de sa famille, Gall a deux frères : Patrice et Philippe.
Au printemps 1963, Robert Gall encourage sa fille à enregistrer des chansons et à envoyer des démos au metteur en scène Denis Bourgeois. En juillet, elle auditionne pour Bourgeois au théâtre des Champs-Élysées de Paris, puis Bourgeois veut la signer immédiatement. Gall a ensuite été signée par Philips.
Relation de France Gall : Mari/Épouse/Compagnon/Compagne/Copain/Enfants
Gall s’est mariée avec son collaborateur et compositeur, Michel Berger, le 22 juin 1976. Ils ont deux enfants ensemble, Pauline et Raphaël, qui est connu sous le nom Raphaël Michel Hamburger. Il est un producteur français et superviseur de musique sur bande sonore.
Sa fille Pauline est atteinte de mucoviscidose peu de temps après sa naissance. Gall et Berger avaient décidé de concentrer leurs espérances sur le progrès de la recherche médicale et de garder les détails de la condition de Pauline un secret public. Elle a conclu un pacte avec son mari pour alterner leurs plans de carrière pour prendre soin de leur fille dans l’espoir de trouver un traitement.
Michel Berger est décédé d’une crise cardiaque en 1992, alors âgé de 44 ans. En avril 1993, on a diagnostiqué et géré avec succès le cancer du sein.
Pauline est décédée au mois de décembre 1997. Après la mort de sa fille, Galles n’assiste qu’occasionnellement à des apparitions publiques.
Gall a été une patronne de la charité française Coeurs de femmes et un joueur de poker régulier jusqu’à sa mort.
Carrière
Le premier épisode du premier single de France, « Ne sois pas si bête », s’est déroulé le jour de ses 16 ans. Il a été libéré en novembre et est devenu un succès, vendant 200.000 copies. Gainsbourg, qui a fait paraître plusieurs albums et écrit des chansons pour des chanteurs tels que Michèle Arnaud et Juliette Gréco, est invité par Bourgeois à écrire des chansons pour Gall. « N’écoute pas les idoles » de Gainsbourg était le deuxième single de Gall. Il accède au sommet du palmarès français en mars 1964 et y reste trois semaines.
À la même époque, Gall fait ses débuts live en travaillant Sacha Distel en Belgique. Elle s’associe au metteur en scène commercial de Distel, Maurice Tézé, parolier, ce qui lui permet de créer un répertoire original. Les orchestrations complexes d’Alain Goraguer mélangent les styles, lui permettant de naviguer entre le jazz, les chansons pour enfants et tout le reste. On peut citer comme exemples de ce style mixte « Jazz à gogo » (par Alain Goraguer et Robert Gall) et « Mes premières vraies vacances » (par Jacques Datin et Maurice Vidalin).
Gall est ensuite sélectionnée pour représenter le Luxembourg à l’Eurovision 1965. Parmi les dix chansons offertes, elle a choisi « Poupée de cire, poupée de son » de Gainsbourg. Le 20 mars 1965, Gainsbourg, Gall et Goraguer assistent à la finale du concours de chant à Naplesh.
Le succès de l’Eurovision a permis à Gall de devenir plus connu en dehors de l’Europe. Elle enregistre également « Poupée de cire, poupée de son » en français, allemand, italien et japonais. Il ne semble pas y avoir de version anglaise publiée par France Gall, même s’il y avait une version anglaise de la couverture par la star anglaise du Twinkle des années 1960.
En 1965, Gall parcourt la France durant plusieurs mois avec « Le Grand Cirque de France ». C’est une combinaison de spectacle radiophonique et de cirque en direct. Ses singles ont continué avec succès, y compris le Gainsbourg-écrit « Attends ou va-t’en » (« Attends-moi, ou pars ») et « Nous ne sommes pas des anges » (« Nous ne sommes pas des anges »). Elle connaît également un succès avec la chanson « L’Amérique » (« America ») d’Eddy Marnay et Guy Magenta.
Après un film télévisé réalisé par Jean-Christophe Averty et consacré aux chansons de Gall diffusées aux Etats-Unis en 1965, Gall est recherchée par Walt Disney pour apparaître comme Alice dans une version musicale « Alice in Wonderland », après avoir déjà fait d’Alice une bande dessinée en 1951.
Bien que Gall ait insisté sur le fait qu’elle ne voulait pas se mêler du cinéma, c’était le seul projet qu’elle aimait. Le projet fut annulé à la suite du décès de Disney en 1966.
En 1966, Gall apparaît dans le téléfilm Viva Morandi, fait dans le même moule psychanalytique que le film de Federico Fellini (1965) « Giulietta degli Spiriti » (Juliette des esprits). Elle a joué « La Grâce » avec Christine Lebail, qui a joué « La Pureté ». Tous deux chantent « Les Sucettes » dans un segment clairement marqué « Fantasy », en référence aux nuances sexuelles de la chanson.
En 1993, elle prévoit d’apparaître sur l’écran pour une collaboration cinématographique avec son meilleur ami, l’écrivain Telsche Boorman. Ce projet n’a jamais été mené à bien en raison du décès de Boorman en 1996.
En janvier 2010, Gall est représentée par Sara Forestier dans un film paru en France, « Gainsbourg (Vie héroïque) ». Ce film s’inspire du roman graphique de l’écrivain-metteur en scène Joann Sfar.
Album
- 1964 : N’écoute pas les idoles
- 1964 : France Gall
- 1964 : Sacré Charlemagne
- 1965 : Poupée de cire, poupée de son
- 1966 : Baby pop
- 1966 : Les Sucettes
- 1968 : 1968
- 1973 : France Gall
- 1976 : Cinq minutes d’amour
- 1976 : France Gall
- 1977 : Dancing Disco
- 1978 : France Gall Live
- 1978 : Starmania
- 1980 : Paris, France
- 1981 : Tout pour la musique
- 1982 : Palais des Sports
- 1984 : Débranche!
- 1985 : France Gall au Zénith
- 1987 : Babacar
- 1988 : Le Tour de France 88
- 1992 : Double jeu
- 1993 : Simple je – Débranchée à Bercy
- 1994 : Simple je – Rebranchée à Bercy
- 1996 : France
- 1997 : Concert public
- 2004 : Best of France Gall
- 2004 : Évidemment
- 2005 : Pleyel
Décès
Au terme de sa carrière, un documentaire a été filmé en 2001, « France Gall par France Gall ». Des millions de gens ont regardé le documentaire lorsque celui-ci a été diffusé à la télévision française cette année-là. Elle s’est produite dans le documentaire France 2 2007, « Tous pour la musique », à l’occasion du 15e anniversaire de la mort de Michel Berger.
Survivante du cancer du sein de longue date, Gall est décédée, à l’âge de 70 ans, une infection après un combat de deux ans contre un cancer primaire non révélé, à l’hôpital américain de Paris à Neuilly-sur-Seine le 7 janvier 2018.
Elle a été inhumée avec son mari et sa fille à 20 avenue Rachel (division 29) dans le cimetière de Montmartre à Paris.
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